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Edmond Michelet, homme de foi ( chrétien) refuse l'armistice , et partageant le position du Général de Gaulle. Difuseurs des "cahiers" de Témoignage chrétien, il dirige la zone 5 (R5) de Combat. A DACHAU, c'est le sommet de la morale…. Il sera Député, Sénateur, ministre proche du Général de Gaulle...Ce livre est le colloque du centenaire de la naissance d'Edmond Michelet 1899- 1999. Ce qu'il faut savoir : " il déplore vivement dans Carrefour, le 19 mars 1969, l’attitude de l’épiscopat français qui s’éloigne du général de Gaulle et qui, face à un totalitarisme soviétique se comporte comme ses prédécesseurs qui n’ont pas combattu le totalitarisme nazi."

Analyse du révisionnisme ou le négationnisme qui prétendent remettre en cause la quasi-totalité des évênements et surtout des responsabilités des belligérants, lors de la seconde guerre mondiale. Ce livre, "conçu dans un but pédagogique reprend et dénonce les thèses nazies de certaines hordes politiques et armées, et qui mettent la sûreté nationale en danger, donc de la démocratie de notre pays".

Jounée d'étude analysant la signification des paroles d'enfants cachés

Entre silence et mémoire, quelle est la portée de la parole des "enfants cachés"? Que dit leur récit de ce qu'on leur a fait et de ce qu'ils en ont fait?... Des thèmes de réflexion pour dépasser les simples témoignages factuels et subjectifs pour dégager un éclairage explicatif, des significations. Analyse importante pour un travail de mémoire et de réflexion plus générale sur la Shoah, les génocides et l'engagement citoyen comme dsipositif de résistance.

Danielle Bailly est professeur de Linguistique et de Didactique à l'UFR d'Etudes anglophones de l'université Paris VII Denis Diderot, où elle anime aussi un groupe de recherche.

Entre silence et mémoire, quelle est la portée de la parole des "enfants cachés"? Que dit leur récit de ce qu'on leur a fait et de ce qu'ils en ont fait?... Des thèmes de réflexion pour dépasser les simples témoignages factuels et subjectifs pour dégager un éclairage explicatif, des significations. Analyse importante pour un travail de mémoire et de réflexion plus générale sur la Shoah, les génocides et l'engagement citoyen comme dsipositif de résistance.

Qu'y a-t-il derrière les plaques commémoratives, derrière tous ces noms, ces mots et ces phrases, taillés dans la pierre ? Des actes de courage, des destins tragiques ou des vies sacrifiées, mais parfois aussi les souvenirs d'une enfance... C'est pour apporter sa pierre à l'histoire de sa famille comme à celle des Enfants de Paris, victimes de la guerre, de l'Occupation et des combats de la Libération, que Philippe Apeloig a réuni les photographies de toutes les plaques parisiennes de cette période. Habitée par la diversité de leurs compositions typographiques et la beauté du contexte architectural, cette œuvre graphique, accompagnée d'un récit de l'auteur, livre ainsi une vision inédite et insolite de l'histoire récente de la capitale : une grande aventure de la mémoire qui continuera de se transmettre aux générations de demain...

"Ce qui est terrible pour un enfant, ce n'est pas tellement de savoir qu'il n'est pas aimé, et pourtant, mais c'est de ne pas pouvoir aimer parce que ce noble sentiment est rejeté des autres". Ces mots bouleversants sont ceux de Daniel, un de ces " fils de Boches", de ces "enfants de la honte", ou de la "collaboration horizontale", comme les qualifiaient les patriotes zélés de 1945, les premiers à prendre la tondeuse pour stigmatiser le comportement des mères qui, aujourd'hui encore, se terrent dans la souffrance.Ces enfants maudits, niés avant même leur naissance, mis au ban de la société, seraient aujourd'hui 200 000 ( en 2004) , estime-t-on à l'institut d'histoire du présent. Nés de liaisons clandestines entre jeunes appelés de la Wehrmacht, l'ennemi, et des femmes d'un pays qui les accueillait malgré lui, ces petits êtres indésirables ont grandi dans la honte, portant au pluss profond de leur âme une double filiation qui a laissé chez nombre d'entre eux une plaie jamais refermée.

Soixante an après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ils témoignent ici pour la première fois. Beaucoup se sont lancés sur les traces du père disparus. Certains ont retrouvé leur famille allemande. D'autres "enfants" poursuivent inlassablement leur quête. Ce livre est pour eux un espoir.

Quelque soit son statut ou sa nationalité, nous sommes tous traités, peu ou prou, comme de simples esclaves que l'on affecte aux diverses tâches, en dehors de toute considération pour les individus que nous sommes.

Pour avoir sauvé des juifs, en mettant en place un système de faux certificats de baptême, le père Dimitri, chrétien orthodoxe russe, sera arrêté par la Gestapo et déporté à Buchenwald.