Inauguration d’une plaque aux déportés de Souppes-sur-Loing
Ce dimanche 14 mai une plaque à la mémoire des neuf Sulpiciens déportés a été inaugurée devant le monument aux morts, sur la place de la gare. Plus d’une centaine de participants étaient présents dont Jean-Jacques Hyest, ancien élu 77 et ancien membre du Conseil constitutionnel, deux conseillers départementaux et plusieurs maires du Sud seine-et-marnais. Cette cérémonie est le résultat d’un long travail de mémoire initié en 2021 par la municipalité de la ville dont son premier magistrat, Pierre Babut.
Quatre « Amis » de l’association départementale représentait l’AFMD, sollicitée pour la recherche de la liste des déportés et leur itinéraire : Maryvonne Braunschweig, vice-présidente départementale, Michel Garnier, porte-drapeau suppléant, qui a ainsi inauguré une toute nouvelle fonction, Etienne Bataille et Béatrice de Roys-Robinson.Ce dimanche 14 mai une plaque à la mémoire des neuf Sulpiciens déportés a été inaugurée devant le monument aux morts, sur la place de la gare. Plus d’une centaine de participants étaient présents dont Jean-Jacques Hyest, ancien élu 77 et ancien membre du Conseil constitutionnel, deux conseillers départementaux et plusieurs maires du Sud seine-et-marnais. Cette cérémonie est le résultat d’un long travail de mémoire initié en 2021 par la municipalité de la ville dont son premier magistrat, Pierre Babut.
Quatre « Amis » de l’association départementale représentait l’AFMD, sollicitée pour la recherche de la liste des déportés et leur itinéraire : Maryvonne Braunschweig, vice-présidente départementale, Michel Garnier, porte-drapeau suppléant, qui a ainsi inauguré une toute nouvelle fonction, Etienne Bataille et Béatrice de Roys-Robinson.
Le maître d’œuvre, Martin Tricard, élu sulpicien, et par ailleurs, professeur d’histoire au lycée Bezout de Nemours, avait mobilisé neuf de ses élèves de Terminale pour lire les notices biographiques des neuf déportés honorés ce jour. Etienne a déposé la gerbe de l’AFMD et Maryvonne a prononcé une des allocutions, qui a été vivement applaudie ; cette intervention retraçait brièvement l’histoire du système concentrationnaire et de la Shoah en situant dans ce contexte l’histoire des neuf déportés sulpiciens. Elle faisait aussi le point sur la signification de la journée de la déportation de fin avril et celle du 16 juillet afin d’éviter des confusions préjudiciables à un réel travail de mémoire.